Merci papa d’avoir repéré ces si beaux objets. Merci de m’avoir emmenée tant de dimanches au Musée de Tervuren et à toutes ces expos qui te nourrissaient. Merci de m’avoir donné toutes ces clés que j’active maintenant. Et pour toutes les autres choses qui ne se sont pas si bien passées entre nous, merci aussi. Sinon je ne serais pas ici en train de faire ce que je fais et qui me remplit d’une merveilleuse énergie.
Merci maman de tolérer cette initiative.
My gratitude goes also to Jon Bains who inspired me a long time ago and continues (whenever I manage to catch him in the digital sphere) to ask the right questions and suggest unchartered routes.
Jean-Pierre Vlasselaer à qui j’ai parlé de ce projet en tout premier lieu m’a incitée à confronter les vues de plusieurs artistes. Merci à lui d’avoir suggéré cette voie.
François de Coninck m’a résolument écartée de la forme initiale que je voulais donner à ce projet. Dès qu’il a imaginé des voix sur les images, j’ai compris qu’il fallait envisager toutes les formes d’expression. Merci.
Le projet avait déjà démarré quand j’ai rencontré Charley Case. C’est lui qui m’a mise face à l’évidence : cette aventure, il faut que je l’écrive. C’est vrai. C’est elle que j’attendais. Pour ce gentil coup de pied… merci.
Merci à Marguerite de Sabran dont la patience, la détermination et la flexibilité n’ont de pareilles que celles de l’arbre centenaire, du bambou et du roseau réunis.
Alain, Déborah et Muscade, merci de partager mon quotidien et mes exceptions. Vous me reliez à l’essentiel. Avec vous, je suis moi, sans masque. Que souhaiter de plus ?
un pied de nez 